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细节
BRETON, André
Alfred Jarry. Manuscrit autographe
S.l.n.d. [Paris, 1918]
9 pp. sur autant de feuillets in-4 (250 x 210 mm), à l'encre noire
JOINT : BRETON, André : lettre autographe signée à Rachilde (Marguerite Eymery, dite), datée 17 février 1918. 2 pp. sur 1 feuillet in-4 (270 x 210 mm), sur papier à en-tête du Val-de-Grâce, avec commentaires signés de la destinataire à l’attention de Jacques Hérold, à qui elle a transmis la lettre.
RELIURE signée de Jean-Paul Miguet, non datée (1982). Maroquin rouge, lettre noire au dos, doublures et gardes de daim gris, tête noire, chemise et étui.
EXPOSITION : Expojarrysition, Collège de Pataphysique-Librairie Jean Loize, Paris, 1953.
Le manuscrit présentant très peu de corrections de texte, pour l’amener à sa version définitive, il s’agit certainement d’une mise au propre.
Ce texte trouve son origine dans une conférence sur Alfred Jarry, qui devait être donnée par André Breton, le 15 mars 1918. Elle n’aura finalement pas lieu et le texte de la conférence devint le squelette d’un article, auquel il travailla pendant tout l’été.
Le texte est publié pour la première fois dans les Écrits nouveaux, en janvier 1919, puis dans Les Pas perdus en 1924.
Se trouve jointe une lettre autographe signée d’André Breton à Rachilde, écrite alors qu’il était encore étudiant en médecine au Val-de-Grâce, pour l’informer de la date arrêtée pour cette conférence. Au verso de la lettre, Rachilde a adressé à Jacques Hérold quelques commentaires au sujet de Breton et de sa conférence, le laissant seul juge du bien-fondé de cette communication. Elle dit craindre son inexpérience […] parce que ses prétendus amis sont justement les plagiaires que vous savez [Il] est incapable de les connaître comme nous les connaissons, et il est, en outre, sinistrement bien élevé. Nous devons, conclut-elle, à la mémoire de Jarry, de ne pas protéger une chose qui serait ridicule ou nuisible à son œuvre.
RÉFÉRENCE : André Breton, Œuvres complètes, pp. 216-226 et 1242-1243
Alfred Jarry. Manuscrit autographe
S.l.n.d. [Paris, 1918]
9 pp. sur autant de feuillets in-4 (250 x 210 mm), à l'encre noire
JOINT : BRETON, André : lettre autographe signée à Rachilde (Marguerite Eymery, dite), datée 17 février 1918. 2 pp. sur 1 feuillet in-4 (270 x 210 mm), sur papier à en-tête du Val-de-Grâce, avec commentaires signés de la destinataire à l’attention de Jacques Hérold, à qui elle a transmis la lettre.
RELIURE signée de Jean-Paul Miguet, non datée (1982). Maroquin rouge, lettre noire au dos, doublures et gardes de daim gris, tête noire, chemise et étui.
EXPOSITION : Expojarrysition, Collège de Pataphysique-Librairie Jean Loize, Paris, 1953.
Le manuscrit présentant très peu de corrections de texte, pour l’amener à sa version définitive, il s’agit certainement d’une mise au propre.
Ce texte trouve son origine dans une conférence sur Alfred Jarry, qui devait être donnée par André Breton, le 15 mars 1918. Elle n’aura finalement pas lieu et le texte de la conférence devint le squelette d’un article, auquel il travailla pendant tout l’été.
Le texte est publié pour la première fois dans les Écrits nouveaux, en janvier 1919, puis dans Les Pas perdus en 1924.
Se trouve jointe une lettre autographe signée d’André Breton à Rachilde, écrite alors qu’il était encore étudiant en médecine au Val-de-Grâce, pour l’informer de la date arrêtée pour cette conférence. Au verso de la lettre, Rachilde a adressé à Jacques Hérold quelques commentaires au sujet de Breton et de sa conférence, le laissant seul juge du bien-fondé de cette communication. Elle dit craindre son inexpérience […] parce que ses prétendus amis sont justement les plagiaires que vous savez [Il] est incapable de les connaître comme nous les connaissons, et il est, en outre, sinistrement bien élevé. Nous devons, conclut-elle, à la mémoire de Jarry, de ne pas protéger une chose qui serait ridicule ou nuisible à son œuvre.
RÉFÉRENCE : André Breton, Œuvres complètes, pp. 216-226 et 1242-1243
荣誉呈献

Adrien Legendre
Head of Department