Details
PICABIA, Francis
Pensées sans langage. Poème
Paris, Eugène Figuière, 1919

ENVOI DE FRANCIS PICABIA À PAUL ÉLUARD.

AVEC UN PORTRAIT PHOTOGRAPHIQUE DE NUSCH ÉLUARD ET DE FRANCIS PICABIA, TENANT L’UNE DE SES TOILES

ÉDITION ORIGINALE

In-12 (184 x 119 mm). Préface d’Udnie, pseudonyme de Francis Picabia. Premier plat de couverture dérelié. Un coin de la reliure légèrement frotté
TIRAGE à petit nombre, sans grand papier
ENVOI : Trois heures chez Paul Éluard, saturées de plaisir... Francis Picabia, à Paul Éluard, Paris 1er décembre [1932 ?]
PIÈCE JOINTE : une photographie, prise au Château de Mai, représentant Nush Éluard, debout, et Francis Picabia, accroupi, torse nu, le haut du corps maquillé de cirage, tenant l’une de ses toiles de la période des “transparences” ; une légende manuscrite au crayon indique “1931” au dos de la photo, (83 x 104 mm), tirage argentique d’époque, collé au dessous de l’envoi
RELIURE DE L’ÉPOQUE. Chagrin rouge, encadrement d’un filet noir à froid sur les plats, dos long, doublure et gardes de papier peigne, tête dorée, couverture et dos conservés, non rogné. Étui postérieur
PROVENANCE : Paul Éluard (envoi ; ex-libris)
RÉFÉRENCE : Europe, “Surréalisme”, novembre-décembre 1968, p. 193 : photographie de Nusch et Picabia reproduite

Brought to you by

Adrien Legendre
Adrien Legendre Head of Department

More from Bibliothèque Paul Destribats - 1ère partie

View All
View All