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Details
BRETON, André
L'Union Libre
Lyons-la-Forêt, 21 mai 1931
MANUSCRIT AUTOGRAPHE COMPLET ET SIGNÉ, AUJOURD’HUI LE SEUL CONNU EN MAINS PRIVÉES SELON MARGUERITE BONNET, D’UN DES POÈMES LES PLUS CÉLÈBRES D’ANDRÉ BRETON
1. MANUSCRIT AUTOGRAPHE COMPLET ET SIGNÉ
2 pages in-4 (294 x 232mm), soit 60 vers libres, à l’encre noire
PIÈCES JOINTES : 1. L.A.S. d'André Breton à Suzanne Muzard. S.l.n.d. [février 1929] : “trop fatigué, tenté te téléphoner rue Caulaincourt une heure le n° obtenu. Tu n’étais pas là. Pardon. Si je ne me couche pas, ça fait encore plusieurs jours foutus” 1 page (248 x 207 mm), à l’encre noire ; 2. B.A.S. de Suzanne Muzard à André Breton : “Suzanne Muzard, femme [d’Emmanuel] Berl par accident, s’oppose formellement à toute méfiance d’André Breton à son égard et lui certifie que... s’il vient en elle, elle est capable de lui démontrer que tous soupçons ne peuvent être que grande injustice” 2 pp. (86 x 63 mm)
2. EXEMPLAIRES IMPRIMÉS. André Breton, L'Union Libre, Paris, 1931. ÉDITION ORIGINALE. In-8 oblong (158 x 219mm). TIRAGE : un des 10 EXEMPLAIRES DE TÊTE sur japon nacré, celui-ci numéroté 6. BROCHÉ -- Même auteur, même titre. TIRAGE : un des 65 exemplaires sur papier couché mat gris, deuxième papier, celui-ci numéroté 39. BROCHÉ. Couverture légèrement salie
Boîte en maroquin rouge signée de J.-P. MIGUET, avec pochette pour les manuscrits et étui.
On connaît trois manuscrits de ce fameux poème d’André Breton. Les deux premiers sont conservés au fonds André Breton de la Bibliothèque littéraire Jacques Doucet (cote BRT 61). Le troisième, celui-ci, le seul connu en mains privées, sera retenu pour l’édition imprimée : “la mise au net datée du 21 mai 1931 et qui figure dans une collection particulière fournit un troisième état, proche de la version définitive ; c’est sur ce manuscrit qu’apparaît le titre pour la première fois” (Œuvres complètes, p. 1335).
Les deux lettres jointes au manuscrit datent de l’époque où André Breton et Suzanne Muzard étaient amants. C’est pour elle que Breton écrivit L’Union Libre.
RÉFÉRENCE : André Breton, Œuvres complètes, Paris, 1992, II, pp. 1335 et sqq.
L'Union Libre
Lyons-la-Forêt, 21 mai 1931
MANUSCRIT AUTOGRAPHE COMPLET ET SIGNÉ, AUJOURD’HUI LE SEUL CONNU EN MAINS PRIVÉES SELON MARGUERITE BONNET, D’UN DES POÈMES LES PLUS CÉLÈBRES D’ANDRÉ BRETON
1. MANUSCRIT AUTOGRAPHE COMPLET ET SIGNÉ
2 pages in-4 (294 x 232mm), soit 60 vers libres, à l’encre noire
PIÈCES JOINTES : 1. L.A.S. d'André Breton à Suzanne Muzard. S.l.n.d. [février 1929] : “trop fatigué, tenté te téléphoner rue Caulaincourt une heure le n° obtenu. Tu n’étais pas là. Pardon. Si je ne me couche pas, ça fait encore plusieurs jours foutus” 1 page (248 x 207 mm), à l’encre noire ; 2. B.A.S. de Suzanne Muzard à André Breton : “Suzanne Muzard, femme [d’Emmanuel] Berl par accident, s’oppose formellement à toute méfiance d’André Breton à son égard et lui certifie que... s’il vient en elle, elle est capable de lui démontrer que tous soupçons ne peuvent être que grande injustice” 2 pp. (86 x 63 mm)
2. EXEMPLAIRES IMPRIMÉS. André Breton, L'Union Libre, Paris, 1931. ÉDITION ORIGINALE. In-8 oblong (158 x 219mm). TIRAGE : un des 10 EXEMPLAIRES DE TÊTE sur japon nacré, celui-ci numéroté 6. BROCHÉ -- Même auteur, même titre. TIRAGE : un des 65 exemplaires sur papier couché mat gris, deuxième papier, celui-ci numéroté 39. BROCHÉ. Couverture légèrement salie
Boîte en maroquin rouge signée de J.-P. MIGUET, avec pochette pour les manuscrits et étui.
On connaît trois manuscrits de ce fameux poème d’André Breton. Les deux premiers sont conservés au fonds André Breton de la Bibliothèque littéraire Jacques Doucet (cote BRT 61). Le troisième, celui-ci, le seul connu en mains privées, sera retenu pour l’édition imprimée : “la mise au net datée du 21 mai 1931 et qui figure dans une collection particulière fournit un troisième état, proche de la version définitive ; c’est sur ce manuscrit qu’apparaît le titre pour la première fois” (Œuvres complètes, p. 1335).
Les deux lettres jointes au manuscrit datent de l’époque où André Breton et Suzanne Muzard étaient amants. C’est pour elle que Breton écrivit L’Union Libre.
RÉFÉRENCE : André Breton, Œuvres complètes, Paris, 1992, II, pp. 1335 et sqq.
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Adrien Legendre
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