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BRETON, André
Le Marais des cinq-doigts
Manuscrit autographe, circa 1931-1935
7 pages, (265 x 215 mm), à l'encre noire, sur 4 feuillets de papier vert, dans une chemise papier vert titrée à l'encre rouge "Le marais des cinq-doigts" probablement de la main de José Corti. Quelques corrections et repentirs
Ce texte, alternant prose/écriture automatique et poésie, proviendrait des archives de José Corti pour une publication qui n’a jamais vu le jour. "Les quatre séquences en prose présentent la tendance de l'écriture automatique à s'ordonner en récit, récit inattendu (et un peu gracquien, ndr) sans doute, dans lequel tout se métamorphose et se personnalise (...) Ces incessants passages d'un état à l'autre, ce caprice imprévisible dans le déroulement du récit caractérisent bien le texte automatique, tout comme les interpénétrations d'expressions ou leur expansion, présentes aussi dans les poèmes : me vert absinthe devient le "verre absinthe" (...)" (Marguerite Bonnet)
Le texte fut publié pour la première fois dans les Œuvres complètes d’André Breton, Bibl. de la Pléiade Inédits I, Tome II, p 638 et suiv. et 1679 et suiv.
Le Marais des cinq-doigts
Manuscrit autographe, circa 1931-1935
7 pages, (265 x 215 mm), à l'encre noire, sur 4 feuillets de papier vert, dans une chemise papier vert titrée à l'encre rouge "Le marais des cinq-doigts" probablement de la main de José Corti. Quelques corrections et repentirs
Ce texte, alternant prose/écriture automatique et poésie, proviendrait des archives de José Corti pour une publication qui n’a jamais vu le jour. "Les quatre séquences en prose présentent la tendance de l'écriture automatique à s'ordonner en récit, récit inattendu (et un peu gracquien, ndr) sans doute, dans lequel tout se métamorphose et se personnalise (...) Ces incessants passages d'un état à l'autre, ce caprice imprévisible dans le déroulement du récit caractérisent bien le texte automatique, tout comme les interpénétrations d'expressions ou leur expansion, présentes aussi dans les poèmes : me vert absinthe devient le "verre absinthe" (...)" (Marguerite Bonnet)
Le texte fut publié pour la première fois dans les Œuvres complètes d’André Breton, Bibl. de la Pléiade Inédits I, Tome II, p 638 et suiv. et 1679 et suiv.
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Adrien Legendre
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