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Details
ÉLUARD, Paul
Yves Tanguy
[1932]
MANUSCRIT AUTOGRAPHE CORRIGÉ
1 p. sur 1 f. in-4 (265 x 205 mm) encre noire sur un feuillet rose
Le manuscrit de travail de ce poème de La vie immédiate révèle une étape dans la composition d’ « Yves Tanguy ». Compte tenu des corrections du dernier tercet, il semble que la version de ce manuscrit soit postérieure à celle évoquée dans la Pléiade.
[JOINT] : ÉLUARD, Paul. Quelque bonté [1932]. Manuscrit autographe corrigé. 1 p. sur 1 f. in-4 (185 x 205 mm) encre noire sur un feuillet beige.
Le poème « Quelque bonté » est ici écrit dans une version de travail où figurent des corrections similaires à celles présentes dans le manuscrit du musée d’art et d’histoire Paul Eluard (Saint-Denis). Le deuxième vers « L’as de trèfle combat aux carreaux » est finalement corrigé « Le sommeil assiège le jour », correction qui sera retenue dans la version publiée de La vie immédiate en 1932. Le troisième vers rédigé comme suit « Une maison vite une maison dans les bois » est raturé pour remplacer les derniers mots par « la forêt », comme dans la version du musée Paul Éluard. Ce vers sera finalement réécrit « Vite un abri dans la forêt » dans le texte publié.
RÉFÉRENCES : Paul Éluard, Œuvres complètes, I, 384 et 1445 ; Jean-Charles Gateau, Paul Eluard et la peinture surréaliste : 1910-1939, Paris : Histoire des idées et critique littéraire, 1982, 188
Yves Tanguy
[1932]
MANUSCRIT AUTOGRAPHE CORRIGÉ
1 p. sur 1 f. in-4 (265 x 205 mm) encre noire sur un feuillet rose
Le manuscrit de travail de ce poème de La vie immédiate révèle une étape dans la composition d’ « Yves Tanguy ». Compte tenu des corrections du dernier tercet, il semble que la version de ce manuscrit soit postérieure à celle évoquée dans la Pléiade.
[JOINT] : ÉLUARD, Paul. Quelque bonté [1932]. Manuscrit autographe corrigé. 1 p. sur 1 f. in-4 (185 x 205 mm) encre noire sur un feuillet beige.
Le poème « Quelque bonté » est ici écrit dans une version de travail où figurent des corrections similaires à celles présentes dans le manuscrit du musée d’art et d’histoire Paul Eluard (Saint-Denis). Le deuxième vers « L’as de trèfle combat aux carreaux » est finalement corrigé « Le sommeil assiège le jour », correction qui sera retenue dans la version publiée de La vie immédiate en 1932. Le troisième vers rédigé comme suit « Une maison vite une maison dans les bois » est raturé pour remplacer les derniers mots par « la forêt », comme dans la version du musée Paul Éluard. Ce vers sera finalement réécrit « Vite un abri dans la forêt » dans le texte publié.
RÉFÉRENCES : Paul Éluard, Œuvres complètes, I, 384 et 1445 ; Jean-Charles Gateau, Paul Eluard et la peinture surréaliste : 1910-1939, Paris : Histoire des idées et critique littéraire, 1982, 188
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Adrien Legendre
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