![BAUDELAIRE, Charles (1821-1867). Lettre autographe signée à Auguste Poulet-Malassis. [Paris : 6 mai 1861].](https://www.christies.com/img/LotImages/2019/PAR/2019_PAR_18565_0016_001(baudelaire_charles_lettre_autographe_signee_a_auguste_poulet-malassis072110).jpg?w=1)
![BAUDELAIRE, Charles (1821-1867). Lettre autographe signée à Auguste Poulet-Malassis. [Paris : 6 mai 1861].](https://www.christies.com/img/LotImages/2019/PAR/2019_PAR_18565_0016_000(baudelaire_charles_lettre_autographe_signee_a_auguste_poulet-malassis072052).jpg?w=1)
细节
BAUDELAIRE, Charles (1821-1867). Lettre autographe signée à Auguste Poulet-Malassis. [Paris : 6 mai 1861].
2 pp. (209 x 134 mm), à l’encre brune sur un double feuillet. (Déchirures aux pliures dont une est renforcée).
Baudelaire doit payer une dette personnelle sur de l’argent devant revenir à Poulet-Malassis à cause de « l’affaire Stoepel ».
« Je pourrai [...] satisfaire [...] votre impatience à l’égard des 800 francs. Schwartz a tout pris, en me disant : puisque la revue [Européenne] devait me remettre cet argent, vous prendrez pour vous l’argent de la revue. [...] l’argent de la revue vous appartient ; cela est clair. » Baudelaire indique également le mal que lui a causé l’affaire avec Stoepel pour une traduction de Longfellow à mettre en musique et pour laquelle il ne touchera que 400 fr sur les 1,500 promis, lui causant les tourments financiers dans lesquels il se trouve à ce moment. Baudelaire, Correspondance, t. 1., p. 317 et p. 881.
[Joint] Lettre autographe signée de Baudelaire à son éditeur et ami, datée le 13 janvier 1860, dans laquelle il s’inquiète de sa vérole sur 1 p.
An autograph letter to his publisher regarding the payment of a deth.
2 pp. (209 x 134 mm), à l’encre brune sur un double feuillet. (Déchirures aux pliures dont une est renforcée).
Baudelaire doit payer une dette personnelle sur de l’argent devant revenir à Poulet-Malassis à cause de « l’affaire Stoepel ».
« Je pourrai [...] satisfaire [...] votre impatience à l’égard des 800 francs. Schwartz a tout pris, en me disant : puisque la revue [Européenne] devait me remettre cet argent, vous prendrez pour vous l’argent de la revue. [...] l’argent de la revue vous appartient ; cela est clair. » Baudelaire indique également le mal que lui a causé l’affaire avec Stoepel pour une traduction de Longfellow à mettre en musique et pour laquelle il ne touchera que 400 fr sur les 1,500 promis, lui causant les tourments financiers dans lesquels il se trouve à ce moment. Baudelaire, Correspondance, t. 1., p. 317 et p. 881.
[Joint] Lettre autographe signée de Baudelaire à son éditeur et ami, datée le 13 janvier 1860, dans laquelle il s’inquiète de sa vérole sur 1 p.
An autograph letter to his publisher regarding the payment of a deth.