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Details
PÉRET, Benjamin, André BRETON, Marcel DUCHAMP et Enrico BAJ
Dames et généraux. Dix planches gravées à l’eau-forte pour dix poèmes de Benjamin Péret, avec un texte liminaire par André Breton et un faux titre de Marcel Duchamp
Paris et Milan, Berggruen & Schwarz, 1964
EXEMPLAIRE SUR ARCHES, AVEC SUITE SUR JAPON NACRÉ ET PLANCHE REFUSÉE
CURIEUSE RELIURE DE GEORGES LEROUX
In-4 (325 x 255 mm), monté sur onglets
TIRAGE : un des 10 exemplaires de tête (après l’exemplaire n°1) sur vélin d’Arches pour le texte et sur vélin de Rives pour les gravures, contenant une épreuve signée sur Japon nacré de la gravure refusée, le cuivre rayé d’une des dix gravures et une suite des gravures signées sur Japon impérial, celui-ci le n°2, signé par André Breton et Enrico Baj
ILLUSTRATION : 10 eaux-fortes originales en couleurs de Enrico Baj, toutes justifiées 2/100 et signées au crayon par l’artiste, dont une ornée d’un collage Reports des gravures
Comme requis à la justification, l’exemplaire comprend également 1 épreuve sur Japon nacré de la gravure refusée, ainsi qu’une suite des 10 eaux-fortes sur Japon impérial, toutes ces gravures étant justifiées II/XII et signées au crayon par l’artiste
Le cuivre rayé, dans cet exemplaire celui de la gravure illustrant le troisième poème (Jambe de bois) est enchâssé dans le second contreplat de la reliure
RELIURE SIGNÉE DE GEORGES LEROUX, datée 1994. Mi-parti maroquin rouge et vert métallisé, plats illustrés chacun d’un mur de papier aux pierres façonnées où se détachent, en reptile poncé et en relief, sur le premier plat un monstre stylisé aux deux pattes et au corps-tête plié dont la trompe-verge s'achève par une extrémité de veau rouge sang, sur le second la partie inférieure vue de dos, la partie anale figurée d'un anneau irrégulier de reptile et l'anus d'une amande de veau rouge, titre en reptile poncé mosaïqué à la japonaise au dos, doublure et gardes de daim rouge en tête et vert en queue, le cuivre gravé annoncé à la justification de l'ouvrage enchâssé dans le second contreplat, couverture et dos conservés. Chemise et étui
Les dix poèmes de Benjamin Péret ont été choisis par Tristan Sauvage dans le recueil De derrière les fagots (1934). Le texte liminaire de Breton, consacré à Baj, avait été prépublié dans la revue L'œil à l’été 1965, et sera repris dans Le Surréalisme et la peinture.
PIÈCES JOINTES : BAJ, Pochette militaire, Paris, Galerie Berggruen, novembre 1965. Chemise illustrée à rabats (222 x 115 mm), plats imprimés de rangées de soldats de plomb, coloriés à la main par l'artiste comme l'indique à l'intérieur une note autographe signée de Baj, qui précise également la justification (15/50). Elle contient : imprimé sur carton rouge, Face à l'histoire, liste des 16 œuvres exposée ; sur couché blanc, six reproductions noir et blanc de ces gravures militaires ; une carte postale, représentation chromo militaire au recto, au verso, fac-similé d'un texte signé Baj faisant office d'invitation au vernissage du vendredi 12 novembre 1965 ; un texte d'André Pieyre de Mandiargues, "Les hommes de guerre" (1 feuillet recto, 320 x 220 mm) plié en quatre ; portrait photographique (215 x 110 mm) portant en légende : "La Bien décorée Natacha von Trumanof du Crazy Horse Saloon (photo Emil Perauer)".
Dames et généraux. Dix planches gravées à l’eau-forte pour dix poèmes de Benjamin Péret, avec un texte liminaire par André Breton et un faux titre de Marcel Duchamp
Paris et Milan, Berggruen & Schwarz, 1964
EXEMPLAIRE SUR ARCHES, AVEC SUITE SUR JAPON NACRÉ ET PLANCHE REFUSÉE
CURIEUSE RELIURE DE GEORGES LEROUX
In-4 (325 x 255 mm), monté sur onglets
TIRAGE : un des 10 exemplaires de tête (après l’exemplaire n°1) sur vélin d’Arches pour le texte et sur vélin de Rives pour les gravures, contenant une épreuve signée sur Japon nacré de la gravure refusée, le cuivre rayé d’une des dix gravures et une suite des gravures signées sur Japon impérial, celui-ci le n°2, signé par André Breton et Enrico Baj
ILLUSTRATION : 10 eaux-fortes originales en couleurs de Enrico Baj, toutes justifiées 2/100 et signées au crayon par l’artiste, dont une ornée d’un collage Reports des gravures
Comme requis à la justification, l’exemplaire comprend également 1 épreuve sur Japon nacré de la gravure refusée, ainsi qu’une suite des 10 eaux-fortes sur Japon impérial, toutes ces gravures étant justifiées II/XII et signées au crayon par l’artiste
Le cuivre rayé, dans cet exemplaire celui de la gravure illustrant le troisième poème (Jambe de bois) est enchâssé dans le second contreplat de la reliure
RELIURE SIGNÉE DE GEORGES LEROUX, datée 1994. Mi-parti maroquin rouge et vert métallisé, plats illustrés chacun d’un mur de papier aux pierres façonnées où se détachent, en reptile poncé et en relief, sur le premier plat un monstre stylisé aux deux pattes et au corps-tête plié dont la trompe-verge s'achève par une extrémité de veau rouge sang, sur le second la partie inférieure vue de dos, la partie anale figurée d'un anneau irrégulier de reptile et l'anus d'une amande de veau rouge, titre en reptile poncé mosaïqué à la japonaise au dos, doublure et gardes de daim rouge en tête et vert en queue, le cuivre gravé annoncé à la justification de l'ouvrage enchâssé dans le second contreplat, couverture et dos conservés. Chemise et étui
Les dix poèmes de Benjamin Péret ont été choisis par Tristan Sauvage dans le recueil De derrière les fagots (1934). Le texte liminaire de Breton, consacré à Baj, avait été prépublié dans la revue L'œil à l’été 1965, et sera repris dans Le Surréalisme et la peinture.
PIÈCES JOINTES : BAJ, Pochette militaire, Paris, Galerie Berggruen, novembre 1965. Chemise illustrée à rabats (222 x 115 mm), plats imprimés de rangées de soldats de plomb, coloriés à la main par l'artiste comme l'indique à l'intérieur une note autographe signée de Baj, qui précise également la justification (15/50). Elle contient : imprimé sur carton rouge, Face à l'histoire, liste des 16 œuvres exposée ; sur couché blanc, six reproductions noir et blanc de ces gravures militaires ; une carte postale, représentation chromo militaire au recto, au verso, fac-similé d'un texte signé Baj faisant office d'invitation au vernissage du vendredi 12 novembre 1965 ; un texte d'André Pieyre de Mandiargues, "Les hommes de guerre" (1 feuillet recto, 320 x 220 mm) plié en quatre ; portrait photographique (215 x 110 mm) portant en légende : "La Bien décorée Natacha von Trumanof du Crazy Horse Saloon (photo Emil Perauer)".
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Adrien Legendre
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