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Details
PICASSO, Pablo, et Werner SPIES
Pour Daniel-Henry Kahnweiler
Stuttgart, Gerd Hatje, 1965
BEL ENVOI DE DANIEL-HENRY KAHNWEILER À ANDRÉ BRETON.
AVEC DEUX LITHOGRAPHIES ORIGINALES SIGNÉES DE PICASSO.
ÉDITION ORIGINALE
In-4 (292 x 212 mm)
TIRAGE : un des 100 exemplaires destinés aux collaborateurs et amis de Daniel-Henry Kahnweiler, celui-ci numéroté XXXII
ENVOI AUTOGRAPHE SIGNÉ de Daniel-Henry Kahnweiler à André Breton : « Pour toi, mon cher André, ce bouquin enrichi magnifiquement par de belles litho, avec ma reconnaissance et ma vieille affection 10.3.66 Henri »
ILLUSTRATION : 10 reproductions de lithographies, 22 fac-similés de lettres de Brassaï, Picasso, Césaire, Derain, Masson, Ponge..., 35 reproductions photographiques sur papier glacé, 17 photographies collées dans le texte de tableaux, avec la SUITE DES 9 LITHOGRAPHIES ORIGINALES SIGNÉES DONT 2 DE PABLO PICASSO, les 7 autres signées d’Élie Lascaux, André Beaudin, André Masson, Suzanne Roger, Eugène de Kermadec, Yves Rouvre et Sébastien Hadengue
PIÈCE JOINTE : Mise en garde juridique pour les écrivains d’art désireux de publier des œuvres de Picasso allant de 1908 à 1910, 1 p. (270 x 210 mm)
RELIURE SIGNÉE DE LOUTREL. Veau glacé brun avec motif de la Galerie Louise Leiris estampé à froid sur le premier plat, dos long avec titre et date dorés, tranches dorées, couverture et dos conservés ; chemise à dos de veau brun pour la suite. Le tout placé dans un étui
RÉFÉRENCE : Cramer-Goeppert, Picasso, n° 133 - Cramer-Saphire, Masson, n° 70 -- cf. Simone Breton, Lettres à Denise, éd. Joëlle Losfeld, Gallimard, Paris, 2005, p. 97
Daniel-Henry Kahnweiler n’a pas vingt-trois ans lorsqu’il crée à Paris sa galerie. Il est l’un des premiers marchands à reconnaître pleinement Picasso, Braque, Gris, Léger et Derain. Il rencontra Pablo Picasso alors que celui-ci était en train d’achever Les Demoiselles d’Avignon. Kahnweiler passa la Première Guerre mondiale en Suisse, puis revint à Paris dès l’armistice. En 1940, la galerie Simon changea de nom pour s’appeler Galerie Louise Leiris. À cause des lois anti-juives, Daniel-Henry Kahnweiler partit se cacher dans le Midi avec sa femme et ils survécurent à la guerre. La rencontre entre Breton et Kahnweiler eut lieu au début des années 1920. À cette époque, Breton et Éluard accompagnaient le couturier Jacques Doucet dans les ventes aux enchères, dont celles de Kahnweiler.
Pour Daniel-Henry Kahnweiler
Stuttgart, Gerd Hatje, 1965
BEL ENVOI DE DANIEL-HENRY KAHNWEILER À ANDRÉ BRETON.
AVEC DEUX LITHOGRAPHIES ORIGINALES SIGNÉES DE PICASSO.
ÉDITION ORIGINALE
In-4 (292 x 212 mm)
TIRAGE : un des 100 exemplaires destinés aux collaborateurs et amis de Daniel-Henry Kahnweiler, celui-ci numéroté XXXII
ENVOI AUTOGRAPHE SIGNÉ de Daniel-Henry Kahnweiler à André Breton : « Pour toi, mon cher André, ce bouquin enrichi magnifiquement par de belles litho, avec ma reconnaissance et ma vieille affection 10.3.66 Henri »
ILLUSTRATION : 10 reproductions de lithographies, 22 fac-similés de lettres de Brassaï, Picasso, Césaire, Derain, Masson, Ponge..., 35 reproductions photographiques sur papier glacé, 17 photographies collées dans le texte de tableaux, avec la SUITE DES 9 LITHOGRAPHIES ORIGINALES SIGNÉES DONT 2 DE PABLO PICASSO, les 7 autres signées d’Élie Lascaux, André Beaudin, André Masson, Suzanne Roger, Eugène de Kermadec, Yves Rouvre et Sébastien Hadengue
PIÈCE JOINTE : Mise en garde juridique pour les écrivains d’art désireux de publier des œuvres de Picasso allant de 1908 à 1910, 1 p. (270 x 210 mm)
RELIURE SIGNÉE DE LOUTREL. Veau glacé brun avec motif de la Galerie Louise Leiris estampé à froid sur le premier plat, dos long avec titre et date dorés, tranches dorées, couverture et dos conservés ; chemise à dos de veau brun pour la suite. Le tout placé dans un étui
RÉFÉRENCE : Cramer-Goeppert, Picasso, n° 133 - Cramer-Saphire, Masson, n° 70 -- cf. Simone Breton, Lettres à Denise, éd. Joëlle Losfeld, Gallimard, Paris, 2005, p. 97
Daniel-Henry Kahnweiler n’a pas vingt-trois ans lorsqu’il crée à Paris sa galerie. Il est l’un des premiers marchands à reconnaître pleinement Picasso, Braque, Gris, Léger et Derain. Il rencontra Pablo Picasso alors que celui-ci était en train d’achever Les Demoiselles d’Avignon. Kahnweiler passa la Première Guerre mondiale en Suisse, puis revint à Paris dès l’armistice. En 1940, la galerie Simon changea de nom pour s’appeler Galerie Louise Leiris. À cause des lois anti-juives, Daniel-Henry Kahnweiler partit se cacher dans le Midi avec sa femme et ils survécurent à la guerre. La rencontre entre Breton et Kahnweiler eut lieu au début des années 1920. À cette époque, Breton et Éluard accompagnaient le couturier Jacques Doucet dans les ventes aux enchères, dont celles de Kahnweiler.
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Adrien Legendre
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