Lot Essay
Ce modèle de secrétaire à abattant en noyer réhaussé de moulures noires a été réalisé à plusieurs reprises par Jean-François Hache (1730-1796) avec cependant certaines variantes. Jean-François Hache est le plus connu de la célèbre famille d'ébénistes établie à Grenoble depuis la fin du XVIIe siècle. Etant le quatrième des douze enfants de Pierre Hache (1705-1776), il a créé sa propre entreprise vers 1754, produisant une grande variété de meubles domestiques et de luxe, utilisant souvent des bois locaux spécifiques.
Ce secrétaire dispose d’une façade aux motifs et lignes épurés, ponctuées de petits médaillons en loupe de noyer aux extrémités des angles de l’abattant ainsi que des deux vantaux.
Ce modèle de secrétaire réalisé par cet ébéniste présente essentiellement des motifs géométriques grâce à l’alternance de différentes essences de bois créant des losanges, médaillons, croisillons et marqueteries de cubes, probablement influencés par les œuvres de Jean-François Oeben qu’il a rencontré lors de son séjour à Paris en avril 1755.
Le secrétaire à abattant présenté ici est particulièrement épuré en comparaison avec d’autres secrétaires à abattant produit par Jean-François Hache (P. et F. Rouge, Le génie des HACHE, Dijon, 2005, pp.470-479) tout en restant cohérent avec le reste de sa production.
Ce secrétaire dispose d’une façade aux motifs et lignes épurés, ponctuées de petits médaillons en loupe de noyer aux extrémités des angles de l’abattant ainsi que des deux vantaux.
Ce modèle de secrétaire réalisé par cet ébéniste présente essentiellement des motifs géométriques grâce à l’alternance de différentes essences de bois créant des losanges, médaillons, croisillons et marqueteries de cubes, probablement influencés par les œuvres de Jean-François Oeben qu’il a rencontré lors de son séjour à Paris en avril 1755.
Le secrétaire à abattant présenté ici est particulièrement épuré en comparaison avec d’autres secrétaires à abattant produit par Jean-François Hache (P. et F. Rouge, Le génie des HACHE, Dijon, 2005, pp.470-479) tout en restant cohérent avec le reste de sa production.