拍品专文
La fonction de ce récipient est associée à la pratique du ta moko, l’application rituelle des tatouages, centrale dans la culture maorie. Son aspect extrêmement abouti reflète la grande importance de ces outils. Leur rôle privilégié dérive de l’ancien système du tapu et témoigne au plus haut degré du transfert symbolique de mana qu’ils véhiculaient. Très rares, on dénombre moins d’une dizaine d’exemplaires connus.
Cf. pour un récipient comparable attribué au clan Ngati Porou, conservé au National Museum of New Zealand, Wellington, inv. n° Web.1761, ou encore une pièce très similaire conservée au Whangarei Public Museum, inv. n° 51.396, datée vers 1820, provenant de la région Waiapu et reproduite dans Duff, R., No Sort of Iron. Culture of Cook’s Polynesians, Auckland, 1969, p. 41, fig. 57.
Cf. pour un récipient comparable attribué au clan Ngati Porou, conservé au National Museum of New Zealand, Wellington, inv. n° Web.1761, ou encore une pièce très similaire conservée au Whangarei Public Museum, inv. n° 51.396, datée vers 1820, provenant de la région Waiapu et reproduite dans Duff, R., No Sort of Iron. Culture of Cook’s Polynesians, Auckland, 1969, p. 41, fig. 57.