拍品專文
Publié dans un premier temps comme une feuille de Jacques de Bellange par François Georges Pariset en 1950, l’auteur revient sur cet avis quatre ans plus tard et le cite dans son article fondateur sur Lallemand dessinateur (Pariset, op. cit.). Il y rappelle les différences de style entre ces deux artistes lorrains, et souligne l’importance du dessin sous-jacent à la pierre noire chez Lallemand sur lequel certains contours sont repris à la plume et à l’encre brune. En effet, la même forme des yeux et le même regard se retrouvent sur d’autres feuilles dont deux conservés au musée du Louvre : la figure de gauche de L’Entremetteuse (inv. 43256, L’art en Lorraine au temps de Jacques Callot, cat. exp. Nancy, Musée des Beaux-arts, 1993, p. 272, fig. 2) ou sur le visage du saint Jean-Baptiste de la Sainte Famille (inv. 21768; op. cit. p. 206, n° 54,) gravée en sens inverse par Ludolph Büsinck avec la lettre ‘G Lalleman:/ M. Büsinck. Scul:/ 1623’.