Clovis Trouille (1889-1975)
Clovis Trouille (1889-1975)
Clovis Trouille (1889-1975)
Clovis Trouille (1889-1975)
3 More
Clovis Trouille (1889-1975)

Coucy-le-Château (Aisne) ou Le Sire de Coucy

Details
Clovis Trouille (1889-1975)
Coucy-le-Château (Aisne) ou Le Sire de Coucy
signé ‘Clovis Trouille’ (en bas à droite); inscrit 'Coucy-le-Château (Aisne)' (sur une étiquette imprimée en bas du cadre); signé et inscrit ‘Coucy-le-chateau (Aisne) Clovis Trouille 57 Avenue Mathurin Moreau Paris 19è’ (au revers); inscrit 'Le Sire de Coucy' (sur le châssis)
huile sur toile dans le cadre de l’artiste
Image: 38 x 55 cm.
Cadre de l'artiste: 45.7 x 62.8 x 4.5 cm.
Peint en 1956

signed ‘Clovis Trouille’ (lower right); inscribed 'Coucy-le-Château (Aisne)' (on a printed label at the bottom of the frame); signed and inscribed ‘Coucy-le-chateau (Aisne) Clovis Trouille 57 Avenue Mathurin Moreau Paris 19è’ (on the reverse); inscribed 'Le Sire de Coucy' (on the stretcher)
oil on canvas in the artist's frame
Image: 15 x 21 5⁄8 in.
Artist's frame: 18 x 24 ¾ x 2 in.
Painted in 1956
Provenance
Atelier de l’artiste.
Puis par succession aux propriétaires actuels.
Literature
J.-M. Campagne, Clovis Trouille, Ivry, 1969, p. 104 et 105 (illustré).
C. Prévost, Parcours à travers l'œuvre de Clovis Trouille, Arles, 2003 p. 224 (illustré en couleurs).
Exhibited
Ostende, Museum voor Moderne Kunst, Clovis Trouille, mars-novembre 2002.

Brought to you by

Valérie Didier
Valérie Didier Head of Department

Lot Essay

« Mon père et sa jument Fifille (un cheval de l’armée). Parfait cavalier (autant de plein air… que de manège), sa silhouette révélait : l’homme à cheval. Son intime connaissance de la haute école lui faisait raconter de fascinantes histoires… où l’amour qu’il avait nourri pour sa jument Fifille apparaissait chaque fois, comme un lien vivant qui le retenait à ses souvenirs du passé. Le joli tableau où figure cette belle jument, dans un décor surréaliste évoquant les tours mystérieuses de « Coucy le Château », la fauconnerie, les troubadours… autant de motifs de rêverie qui enchantaient mon père. Il y a là une sorte de « chant d’amour » à Fifille ». Alice Lambert.

‘My father and his mare Fifille (an army horse). A perfect rider (both outdoors and at the riding school), his figure revealed the man on horseback. His deep knowledge of the élité school induced him to tell fascinating stories... in which the love he had nurtured for his mare Fifille came out each time, like a living bond that tied him to his memories of the past. The lovely painting featuring this beautiful mare is set in a surreal background that evokes the mysterious towers of Coucy le Château, falconry and the troubadours… These were all daydream subjects that enchanted my father. It is in some ways a "love song" to Fifille.’ Alice Lambert.

More from Clovis Trouille, Super Surréaliste. Oeuvres provenant de l'atelier de l'artiste.

View All
View All