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Les Dalton se rachètent
Details
MORRIS (1923-2001)
Les Dalton se rachètent
Dupuis. 1965
Encre de Chine et trame sur papier pour la planche 16 de l'album.
50 x 35,6 cm. Signée en bas à droite.
53,8 x 36,2 cm pour la feuille.
Les Dalton se rachètent a été prépublié dans Spirou (du n°1331 du 17 octobre 1963 au n°1352 du 12 mars 1964). Parution en album (n°26) en 1965.
Scénario de René Goscinny (1926 – 1977).
Pour améliorer le système carcéral américain, et symboliser ses visées éducatives, la Cour suprême des États-Unis a une idée : la libération conditionnelle. Pour mettre à l’épreuve ce projet de réforme, les sénateurs font appel à Lucky Luke et lui exposent leur plan de libérer les Dalton durant un mois et voir s’ils sont capables ou non de ne commettre aucun délit pendant ce laps de temps. Perplexe, Lucky Luke s’exécute pour autant : “je suppose qu’on ne discute pas les décisions de la Cour suprême”, souffle-t-il, encore abasourdi.
Quand ils apprennent l’expérience dont ils vont être les sujets, les Dalton ont un plan très simple : se faire discrets pendant un mois, puis éliminer Lucky Luke, la seule personne à leurs yeux capable de les faire condamner. Évidemment prétexte à quantité de situations cocasses, les habitants de Tortilla Gulch, la ville où ils sont assignés à résidence, sont terrifiés à la moindre interaction avec eux. Ils s’essaieront ainsi banquiers puis même adjoints du shérif, aidant à faire arrêter des faux-Dalton qui veulent les faire accuser !
Il n'est pas question pour eux de changer leur nature profonde. Être honnête et finir respectable est, pour Joe Dalton, le pire des cauchemars, comme le montre l’hilarante avant-dernière case ! Il leur reste bien des délits à commettre et des évasions à organiser, sous la surveillance de Rantanplan ou pas !
To improve the American prison system and convey its educational aims, a United States Supreme Court senator has an idea: parole. To put this proposed reform to the test, the senators call in Lucky Luke and explain their plan to him. They intend to release the Daltons for one month and see whether or not they are able to refrain from committing any offences during that time. Perplexed, Lucky Luke goes along with the plan: “I guess we can't argue with the decisions of the Supreme Court,” he mutters, still baffled.
When they learn of the experiment of which they're to be the subjects, the Daltons have a very simple plan - to keep a low profile for a month, then take out Lucky Luke, the only person in their eyes capable of having them convicted afterwards. Naturally, it's a pretext for a whole host of funny situations, as the inhabitants of Tortilla Gulch, the town where the Daltons are under house arrest, are terrified of the slightest interaction with them. The four brothers try their hand at being bankers and even sheriff's deputies, helping to arrest some impostor Daltons who want to frame them! But there's no chance of them turning over a new leaf: for Joe Dalton, being honest and ending up respectable is the worst kind of nightmare, as the hilarious penultimate panel shows! They still have plenty of crimes to commit and escapes to organise, under the “watchful” eye of Rantanplan or not!
Les Dalton se rachètent
Dupuis. 1965
Encre de Chine et trame sur papier pour la planche 16 de l'album.
50 x 35,6 cm. Signée en bas à droite.
53,8 x 36,2 cm pour la feuille.
Les Dalton se rachètent a été prépublié dans Spirou (du n°1331 du 17 octobre 1963 au n°1352 du 12 mars 1964). Parution en album (n°26) en 1965.
Scénario de René Goscinny (1926 – 1977).
Pour améliorer le système carcéral américain, et symboliser ses visées éducatives, la Cour suprême des États-Unis a une idée : la libération conditionnelle. Pour mettre à l’épreuve ce projet de réforme, les sénateurs font appel à Lucky Luke et lui exposent leur plan de libérer les Dalton durant un mois et voir s’ils sont capables ou non de ne commettre aucun délit pendant ce laps de temps. Perplexe, Lucky Luke s’exécute pour autant : “je suppose qu’on ne discute pas les décisions de la Cour suprême”, souffle-t-il, encore abasourdi.
Quand ils apprennent l’expérience dont ils vont être les sujets, les Dalton ont un plan très simple : se faire discrets pendant un mois, puis éliminer Lucky Luke, la seule personne à leurs yeux capable de les faire condamner. Évidemment prétexte à quantité de situations cocasses, les habitants de Tortilla Gulch, la ville où ils sont assignés à résidence, sont terrifiés à la moindre interaction avec eux. Ils s’essaieront ainsi banquiers puis même adjoints du shérif, aidant à faire arrêter des faux-Dalton qui veulent les faire accuser !
Il n'est pas question pour eux de changer leur nature profonde. Être honnête et finir respectable est, pour Joe Dalton, le pire des cauchemars, comme le montre l’hilarante avant-dernière case ! Il leur reste bien des délits à commettre et des évasions à organiser, sous la surveillance de Rantanplan ou pas !
To improve the American prison system and convey its educational aims, a United States Supreme Court senator has an idea: parole. To put this proposed reform to the test, the senators call in Lucky Luke and explain their plan to him. They intend to release the Daltons for one month and see whether or not they are able to refrain from committing any offences during that time. Perplexed, Lucky Luke goes along with the plan: “I guess we can't argue with the decisions of the Supreme Court,” he mutters, still baffled.
When they learn of the experiment of which they're to be the subjects, the Daltons have a very simple plan - to keep a low profile for a month, then take out Lucky Luke, the only person in their eyes capable of having them convicted afterwards. Naturally, it's a pretext for a whole host of funny situations, as the inhabitants of Tortilla Gulch, the town where the Daltons are under house arrest, are terrified of the slightest interaction with them. The four brothers try their hand at being bankers and even sheriff's deputies, helping to arrest some impostor Daltons who want to frame them! But there's no chance of them turning over a new leaf: for Joe Dalton, being honest and ending up respectable is the worst kind of nightmare, as the hilarious penultimate panel shows! They still have plenty of crimes to commit and escapes to organise, under the “watchful” eye of Rantanplan or not!
Brought to you by
Vincent Belloy
Specialist
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