Lot Essay
Datée de 1918, cette œuvre illustre l’attachement de Denys Puech à la mélancolie antique, s’inscrivant dans une tradition classique nourrie par les textes d’Ovide et de Musée le Grammairien, et déjà explorée par différents sculpteurs tels que Diébolt, Etex, Bourgeois ou Chapu. Puech représente ici Héro, prêtresse d’Aphrodite, pleurant la mort de son amant Léandre, noyé alors qu’il traversait l’Hellespont pour la rejoindre.
Puech traite ce thème de 1915 à 1929, sans interruption et dans de multiples médiums (plâtre, bronze, marbre, terre cuite).
La posture agenouillée d’Héro s’inscrit dans une recherche plastique récurrente chez l’artiste, déjà explorée dans La Muse d’André Chénier (1887) ou Aurore (1900), où la figure féminine, repliée sur elle-même, exprime recueillement, inspiration ou douleur.
Puech traite ce thème de 1915 à 1929, sans interruption et dans de multiples médiums (plâtre, bronze, marbre, terre cuite).
La posture agenouillée d’Héro s’inscrit dans une recherche plastique récurrente chez l’artiste, déjà explorée dans La Muse d’André Chénier (1887) ou Aurore (1900), où la figure féminine, repliée sur elle-même, exprime recueillement, inspiration ou douleur.
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