Lot Essay
Les figures de reliquaire Mahongwe sont très rares, bien plus que celles des Kota. Certains marchands en exposèrent certaines en 1967 à Paris (cf. Kerchache, J., Le M’boueti des Mahongoue) suite aux recherches et aux découvertes de Louis Perrois en pays Kota et Mahongwe (cf. Perrois, L., Le Bwete des Kota-Mahongwe du Gabon, Libreville, 1969).
Notre exemplaire se distingue par sa dimension, comptant ainsi parmi les plus grandes figures de reliquaires, l’application minutieuse des lamelles en laiton et l’harmonie du visage symétrique en ogive coiffé d’un chignon à la verticale. Elle se démarque également par sa richesse ornementale très élaborée, travaillée au repoussé, à motifs en chevrons, repris à la base érodée.
L’exemplaire de l’ancienne collection André Fourquet, LaGamma, A., Eternal ancestors. The Art of the Central African Reliquary, New York, 2008, pp. 214-215, partage la même morphologie ainsi que le décor gravé au verso.
Notre exemplaire se distingue par sa dimension, comptant ainsi parmi les plus grandes figures de reliquaires, l’application minutieuse des lamelles en laiton et l’harmonie du visage symétrique en ogive coiffé d’un chignon à la verticale. Elle se démarque également par sa richesse ornementale très élaborée, travaillée au repoussé, à motifs en chevrons, repris à la base érodée.
L’exemplaire de l’ancienne collection André Fourquet, LaGamma, A., Eternal ancestors. The Art of the Central African Reliquary, New York, 2008, pp. 214-215, partage la même morphologie ainsi que le décor gravé au verso.