Lot Essay
Les archives de la famille Schwob mentionnent l’acquisition par échange d'un « masque amulette Bapende » avec le musée d’ethnographie d’Anvers. Malheureusement, aucun élément ne permet d’affirmer avec certitude que l’ivoire proposé ici provienne bien de ce musée.
Dans ses Notes ethnographiques (1922), Torday fit ces remarques à propos des ikhoko: « Chez les Bapendé le principal fétiche est le petit masque buya, également nommé dikoko, qui est porté autour du cou. [...] Le masque buya se porte comme charme pour prévenir ou guérir les maladies et il peut être acquis par les mâles adultes chez le bembo ou homme-fétiche. »
Dans ses Notes ethnographiques (1922), Torday fit ces remarques à propos des ikhoko: « Chez les Bapendé le principal fétiche est le petit masque buya, également nommé dikoko, qui est porté autour du cou. [...] Le masque buya se porte comme charme pour prévenir ou guérir les maladies et il peut être acquis par les mâles adultes chez le bembo ou homme-fétiche. »