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Details
WILLIAM VANCE
XIII
LA OU VA L’INDIEN (T.2), DARGAUD 1985
Planche originale n° 41 prépubliée dans
Le Journal de Spirou n° 2465 du 9 juillet 1985.
Signée. Encre de Chine sur papier
36 × 48 cm (14,17 × 18,9 in.)
À la recherche d’informations sur son identité oubliée, XIII n’a pour seuls indices qu’une photo et une phrase mystérieuse : « Là où va l’Indien ». Il finit par trouver la maison qui figure sur la photo. Mais il a toutes les raisons de se méfier : depuis le début de l’histoire, sa route est jonchée de cadavres ! Cette scène parfaitement découpée révèle tout le talent de William Vance : son travail virtuose sur les matières, la narration qui laisse transparaître toute la difficulté de la progression de l’amnésique avant la découverte tant attendue du chalet. Une grammaire graphique qui n’appartient qu’à Vance : un mélange entre le dessin hollandais d’un Hans Kresse – dont il hérite ce trait « arraché » – et le dessin espagnol (Victor de la Fuente, Esteban Maroto, Jose Ortiz…) davantage décoratif. Avec cette planche, Vance est à son sommet.
XIII
LA OU VA L’INDIEN (T.2), DARGAUD 1985
Planche originale n° 41 prépubliée dans
Le Journal de Spirou n° 2465 du 9 juillet 1985.
Signée. Encre de Chine sur papier
36 × 48 cm (14,17 × 18,9 in.)
À la recherche d’informations sur son identité oubliée, XIII n’a pour seuls indices qu’une photo et une phrase mystérieuse : « Là où va l’Indien ». Il finit par trouver la maison qui figure sur la photo. Mais il a toutes les raisons de se méfier : depuis le début de l’histoire, sa route est jonchée de cadavres ! Cette scène parfaitement découpée révèle tout le talent de William Vance : son travail virtuose sur les matières, la narration qui laisse transparaître toute la difficulté de la progression de l’amnésique avant la découverte tant attendue du chalet. Une grammaire graphique qui n’appartient qu’à Vance : un mélange entre le dessin hollandais d’un Hans Kresse – dont il hérite ce trait « arraché » – et le dessin espagnol (Victor de la Fuente, Esteban Maroto, Jose Ortiz…) davantage décoratif. Avec cette planche, Vance est à son sommet.
Brought to you by
Emilie Fabre