PAUL-CÉSAR HELLEU (VANNES 1859-1927)
Provenant de la collection ‘De Caillebotte à Calder – Itinéraire d’une Passion’
PAUL-CÉSAR HELLEU (VANNES 1859-1927)

Fillette regardant vers le haut : illustration pour ‘Fermez les rideaux. Chansons simplettes pour les petits enfants’

細節
PAUL-CÉSAR HELLEU (VANNES 1859-1927)
Fillette regardant vers le haut : illustration pour ‘Fermez les rideaux. Chansons simplettes pour les petits enfants’
signé 'Helleu'
fusain, sanguine et craie blanche, sur papier beige
74 x 54 cm (29 1/8 x 21 ¼ in.)
出版
F. de Watrigant, Paul-César Helleu, Paris, 2014, p. 77, ill.
更多詳情
PAUL-CÉSAR HELLEU, PORTRAIT OF PAULETTE, THE DAUGHTER OF THE ARTIST, WEARING A HAT, CHARCOAL, RED AND WHITE CHALK, ON LIGHT BROWN PAPER, SIGNED

In 1913, Helleu dedicated himself to the publication of the book Paul Helleu, peintre et graveur, written by Robert de Montesquiou. The artist participated actively in the realisation of this book by submitting 182 drawings and engravings to the publisher. Frédérique de Watrigant (op. cit.) links this study to a series drawn by Helleu to illustrate Chansons Simplettes, a book of songs by Mrs. Félix-Faure Goyau published in 1906. Among these songs is Fermez les rideaux (close the curtains): ‘This Fermez les rideau is a small masterpiece. The child, at her window, in the evening, invincibly turns her eyes towards the darkness, which attracts and terrifies her because above her the curtains draw a heart’ (Montesquiou, op. cit., p. 91).

榮譽呈獻

Hélène Rihal
Hélène Rihal Head of Department

拍品專文

En 1913, Helleu se consacre à la publication du livre Helleu peintre et graveur rédigé par Robert de Montesquiou. L’artiste participe activement à la réalisation de cet ouvrage en soumettant à l’éditeur 182 dessins et gravures. Frédérique de Watrigant (op. cit.) rapproche la présente étude d’une série dessinée par Helleu pour illustrer Chansons Simplettes, œuvre de madame Félix-Faure Goyau, publiée en 1906 dont Fermez les rideaux : ‘ Ce fermez les rideaux est le petit chef-d’œuvre. L’enfant, à sa fenêtre, le soir, tourne invinciblement ses yeux vers l’obscurité qui l’attire et le terrifie car en haut les rideaux dessinent un cœur’ (R. de Montesquiou, op. cit., Paris, 1913, p. 91).

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