拍品專文
Les études que Cornelius Varley a produit durant ses deux visites aux Pays de Galles en 1802 et 1803 attestent de l'importance du paysage montagneux et romantique de cette région et en particulier de Cader Idris dans l'oeuvre de Varley et de ses contemporains. En quelques rapides traits de crayon, Varley a parfaitement rendu les effets atmosphèriques de la scène.
Ce dessin souligne également l'intérêt parallèle de Varley pour les sciences et en particulier pour l'optique. Ici sa fascination pour l'évolution rapide des effets météorologiques est évidente. Durant son voyage en 1803, lui et l'un de ses compagnons de voyage, Joshua Cristall, grimpèrent au sommet de Cader Idris (qui s'élève à plus de 900 m d'altitude). Ils furent si captivés par le changement constant de lumière au sommet qu'ils restèrent jusqu'à la nuit tombée et durent descendre dans l'obscurité. L'inscription suggère que ce croquis fut réalisé en plein air durant cette ascension.
Ce dessin souligne également l'intérêt parallèle de Varley pour les sciences et en particulier pour l'optique. Ici sa fascination pour l'évolution rapide des effets météorologiques est évidente. Durant son voyage en 1803, lui et l'un de ses compagnons de voyage, Joshua Cristall, grimpèrent au sommet de Cader Idris (qui s'élève à plus de 900 m d'altitude). Ils furent si captivés par le changement constant de lumière au sommet qu'ils restèrent jusqu'à la nuit tombée et durent descendre dans l'obscurité. L'inscription suggère que ce croquis fut réalisé en plein air durant cette ascension.