拍品專文
« Les masques pour la levée des tabous sont destinés à réparer la société. Il s’agit de grands masques en bois souvent surmontés d’une imposante superstructure […] qui servent à lever les tabous restant dans un village après un décès ; ce sont également eux qui ouvrent le cimetière afin d’admettre la population à la séquence finale des cérémonies commémoratives malagan. […] Les membres du clan du défunt peuvent désormais retourner à une vie normale, et le masque qui lève les tabous est posé dans sa propre maison d’exposition, située dans la partie publique du cimetière. » (Gunn, M., in Gunn, M. et Peltier, P., Nouvelle-Irlande. Arts du Pacifique Sud, Paris, 2007, p. 251).
Cf. l’Ethnologisches Museum de Berlin possède plusieurs masques comparables, collectés vers la fin du XIXe-début du XXe siècle, et reproduits dans Helfrich, K., Malanggan - 1. Bildwerke von Neuirland, Berlin, 1973, figs. 66-72. Pour un autre masque analogue, voir celui de la collection du Museum für Völkerkunde de Dresde, inv. n° I2073, acquis par Richard Parkinson en 1895 et reproduit dans Gunn, M. et Peltier, P., Nouvelle- Irlande. Arts du Pacifique Sud, Paris, 2007, p. 258, n° 114.
Cf. l’Ethnologisches Museum de Berlin possède plusieurs masques comparables, collectés vers la fin du XIXe-début du XXe siècle, et reproduits dans Helfrich, K., Malanggan - 1. Bildwerke von Neuirland, Berlin, 1973, figs. 66-72. Pour un autre masque analogue, voir celui de la collection du Museum für Völkerkunde de Dresde, inv. n° I2073, acquis par Richard Parkinson en 1895 et reproduit dans Gunn, M. et Peltier, P., Nouvelle- Irlande. Arts du Pacifique Sud, Paris, 2007, p. 258, n° 114.