Lot Essay
Ce tableau est une redécouverte importante dans l’œuvre de Lucien Lévy-Dhurmer. Exposée en 1898 puis conservée jusqu’à aujourd’hui dans une collection privée, l’on ne connaissait la composition d’Il était une fois une Princesse, qu’à travers l’héliogravure de Dujardin.
La signature et la datation de ce tableau ‘L. Levy Dhurmer. / 1896’ sont particulièrement significatives dans l’œuvre de l’artiste. En effet, cette année là, se tient sa première exposition monographique à la galerie Georges Petit, exposition pour laquelle il apparaît pour la première fois sous le nom de Lévy-Dhurmer, ajoutant à son patronyme Lévy, une partie de celui de sa mère, Pauline-Amélie Goldhurmer.
Tout au long de sa longue carrière, Lévy-Dhurmer a expérimenté différentes techniques artistiques. Il sera à la fois ornemaniste, céramiste, peintre, pastelliste, designer – pouvant se révéler être un véritable ensemblier pour l’hôtel particulier d’Auguste Rateau (Wisteria Dining Room, Metropolitan Museum of Art, New York, inv. 66.244.1) – et ses compositions portent l’empreinte des arts qu’il maîtrise. Les rehauts d’or utilisés judicieusement dans Il était une fois une Princesse, rappellent ses recherches sur les reflets métalliques à la Manufacture de faïences d'art de Clément Massier à Golfe Juan.
En très bel état de conservation et dans son cadre d’origine, élaboré par l’artiste lui-même semble-t-il, cette œuvre porte autant la marque du symbolisme que celle de l’Art Nouveau.
La signature et la datation de ce tableau ‘L. Levy Dhurmer. / 1896’ sont particulièrement significatives dans l’œuvre de l’artiste. En effet, cette année là, se tient sa première exposition monographique à la galerie Georges Petit, exposition pour laquelle il apparaît pour la première fois sous le nom de Lévy-Dhurmer, ajoutant à son patronyme Lévy, une partie de celui de sa mère, Pauline-Amélie Goldhurmer.
Tout au long de sa longue carrière, Lévy-Dhurmer a expérimenté différentes techniques artistiques. Il sera à la fois ornemaniste, céramiste, peintre, pastelliste, designer – pouvant se révéler être un véritable ensemblier pour l’hôtel particulier d’Auguste Rateau (Wisteria Dining Room, Metropolitan Museum of Art, New York, inv. 66.244.1) – et ses compositions portent l’empreinte des arts qu’il maîtrise. Les rehauts d’or utilisés judicieusement dans Il était une fois une Princesse, rappellent ses recherches sur les reflets métalliques à la Manufacture de faïences d'art de Clément Massier à Golfe Juan.
En très bel état de conservation et dans son cadre d’origine, élaboré par l’artiste lui-même semble-t-il, cette œuvre porte autant la marque du symbolisme que celle de l’Art Nouveau.