ATTRIBUÉ À LOUIS JEAN FRANÇOIS LAGRENÉE (1725-1805)
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Jeune Fille à la colombe

Details
ATTRIBUÉ À LOUIS JEAN FRANÇOIS LAGRENÉE (1725-1805)
Jeune Fille à la colombe
huile sur toile, ovale mise au rectangle
60,8 x 49,5 cm (2315⁄16 x 19 ½ in.)
Provenance
Elena Bejarano et Antonio de Ajuria y Temple, Boulevard Haussmann, Paris, dès 1911 ;
Transféré par ceux-ci au Mexique, en 1920 ;
Puis par descendance dans la famille, Mexique.
Further details
ATTRIBUTED TO LOUIS JEAN FRANÇOIS LAGRENÉE (1725-1805), YOUNG GIRL WITH A DOVE, OIL ON CANVAS

This elegant painting, imbued with the lightness of touch and spirit associated with the eighteenth century, is a version of the Jeune fille badinant une colombe presented at the Salon of 1755 by Louis Jean François Lagrenée (1725-1805) (see J. Assémat-Tessandier, Louis Lagrenée, dit l'aîné. 1725-1805, Paris, 2002, no. 296 P). This was painted with its counterpart, Jeune fille tenant un papier de musique et battant la mesure (see J. Assémat-Tessandier, 2002, op. cit., no. 295 P), during his years as a boarder at the Académie de France in Rome (1750-1754). Inspired by the costumes of the Roman women he met in the Eternal City, the young Lagrenée did not hesitate to add pearls and feathers to his models, transforming them into fantasy characters.Lagrenée was not in the habit of depicting fantasy figures: Assémat-Tessandier, a specialist on the artist, states that the two paintings mentioned above are unique in the artist's corpus in this respect. Nor was the painter in the habit of painting different versions of the same composition. The only example mentioned by the specialist is Un jeune satyre, for which he lists two autograph versions (see J. Assémat-Tessandier, 2002, op. cit, n°368 P and n°*369 P).

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Olivia Ghosh
Olivia Ghosh Specialist

Lot Essay

Cet élégant tableau, empreint de la légèreté associée au XVIIIe siècle, est à rapprocher du tableau Jeune fille badinant une colombe présenté au Salon de 1755 par Louis Jean François Lagrenée (1725-1805) (voir J. Assémat-Tessandier, Louis Lagrenée, dit l’aîné. 1725-1805, Paris, 2002, n°296 P). Celui-ci avait été peint avec son pendant, Jeune fille tenant un papier de musique et battant la mesure (voir J. Assémat-Tessandier, 2002, op. cit., n°295 P), durant ses années de pensionnat à l’Académie de France à Rome (1750-1754) : s’inspirant des costumes des Romaines que le pensionnaire croisait dans la Cité éternelle, le jeune Lagrenée n’a pas hésité à rajouter perles et plumes à ses modèles, transformant ceux-ci en personnages de fantaisie.
Lagrenée n’avait pas l’habitude de représenter des personnages de fantaisie : Assémat-Tessandier, spécialiste de l’artiste, affirme que les deux tableaux susmentionnés sont à cet égard uniques dans le corpus de l’artiste. Le peintre n’avait, non plus, pas l’habitude de peindre différentes versions d’une même composition. Le seul exemple mentionné par le spécialiste est Un jeune satyre pour lequel il recense deux versions autographes (voir J. Assémat-Tessandier, 2002, op. cit., n°368 P et n°*369 P).

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