拍品专文
Ce dessin évoque l'un des drames majeurs de la vie du poète: le décés à vingt et un an de sa fille Léopoldine, celle qu'il surnommait avec affection Didine. L'oeuvre est préparatoire pour une carte d'étrennes adressée à Paul Meurice le 1er janvier 1864 et aujourd'hui conservée à la Maison de Victor Hugo, Paris (inv. 815) où apparait en réserve le portrait de la fille perdue dans un halo avec l'inscription 'Fracta juventus' (voir Victor Hugo, l'homme océan, op. cit., no. 214, p. 248).