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Details
JEAN-PIERRE GIBRAT
MATTÉO
TOME 3, TROISIÈME ÉPOQUE (AOÛT 1936), FUTUROPOLIS 2013
Couverture originale, 2013.
Encre de Chine, encres acryliques de couleur, aquarelle, rehauts de gouache sur papier aquarelle.
35,2 × 44,2 cm (13,86 × 17,4 in.)
Étonnants, les vacanciers de 1936 tels que les imagine Gibrat : endimanchés, les chaussures cirées, assis pour le piquenique sur une digue aménagée par la municipalité, fort peu rustique en réalité… Mais qu’importe ! Quand il capte la belle lumière de Collioure en cette journée d’été, la volupté de ses héros échappés l’espace d’un instant à leurs tracas quotidiens, quand il décrit avec une telle empathie cette jeunesse qui profite de la vie, Gibrat ne se trompe jamais : l’amour est éternel.
MERCI, LÉON
« La couverture d’un album, c’est comme la bande-annonce d’un film, il s’agit d’évoquer, de donner l’envie d’entrer dans la danse. Alors, on s’applique sur la partition, sans faire le malin. Mattéo est un personnage au pessimisme sifflotant, et dans ce récit il sifflote un peu plus fort qu’à son habitude, c’est le volet le plus joyeux de son parcours, j’ai donc essayé de traduire cette embellie. Les voici donc à Collioure, Augustin, Mattéo, Paulin et Amélie, dans la fraîcheur de leurs premières vacances. Les cartes postales ne sont pas encore des corvées de politesse, et ils ont bien envie d’en envoyer une au président du Conseil, avec juste deux mots : “Merci, Léon”. On retenait son chapeau en 36, mais pas son enthousiasme. » J-P G.
MATTÉO
TOME 3, TROISIÈME ÉPOQUE (AOÛT 1936), FUTUROPOLIS 2013
Couverture originale, 2013.
Encre de Chine, encres acryliques de couleur, aquarelle, rehauts de gouache sur papier aquarelle.
35,2 × 44,2 cm (13,86 × 17,4 in.)
Étonnants, les vacanciers de 1936 tels que les imagine Gibrat : endimanchés, les chaussures cirées, assis pour le piquenique sur une digue aménagée par la municipalité, fort peu rustique en réalité… Mais qu’importe ! Quand il capte la belle lumière de Collioure en cette journée d’été, la volupté de ses héros échappés l’espace d’un instant à leurs tracas quotidiens, quand il décrit avec une telle empathie cette jeunesse qui profite de la vie, Gibrat ne se trompe jamais : l’amour est éternel.
MERCI, LÉON
« La couverture d’un album, c’est comme la bande-annonce d’un film, il s’agit d’évoquer, de donner l’envie d’entrer dans la danse. Alors, on s’applique sur la partition, sans faire le malin. Mattéo est un personnage au pessimisme sifflotant, et dans ce récit il sifflote un peu plus fort qu’à son habitude, c’est le volet le plus joyeux de son parcours, j’ai donc essayé de traduire cette embellie. Les voici donc à Collioure, Augustin, Mattéo, Paulin et Amélie, dans la fraîcheur de leurs premières vacances. Les cartes postales ne sont pas encore des corvées de politesse, et ils ont bien envie d’en envoyer une au président du Conseil, avec juste deux mots : “Merci, Léon”. On retenait son chapeau en 36, mais pas son enthousiasme. » J-P G.
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Lola Regard