拍品专文
Une classification thématique de la vaste variété des formes et des symboles incarnés par les masques Yup’ik permet de diviser les masques en plusieurs catégories : les masques Totems, d’animaux mythiques, d’Yua (âme), des Tunghak (esprits errants) ou encore les masques représentant l’Homme-de-la-Lune.
Il s'agit très probablement dans le cas ici présent, d’un masque Tunghak. Il correspond à une typologie bien précise présentant un visage zoomorphe -pouvant être celui d’un phoque- placé de manière centrale sur une planche de bois percé : « tous les masques de ce type font référence au dieu lunaire, dispensateur de gibier. Les trous percés dans la planche évoquent les lieux de passages entre le monde céleste, la terre et le monde sous-marin. » (Rousselot, J.L., Bihl, J. et al., "Masques Yup’ik", Masques Eskimo d’Alaska, Novalaise, 1991, p. 186)
Cf. pour des masques similaires susceptibles de clarifier autant l’iconographie que l’attribution géographique et la typologie de notre masque, voir celui de l'University of Pennsylvania Museum of Archaeology and Anthropology, publié par Rousselot, J.L, Bihl, J. et al., ibid., p. 186 ou encore celui du Nationalmuseet au Danemark (ibid., p. 112).
Il s'agit très probablement dans le cas ici présent, d’un masque Tunghak. Il correspond à une typologie bien précise présentant un visage zoomorphe -pouvant être celui d’un phoque- placé de manière centrale sur une planche de bois percé : « tous les masques de ce type font référence au dieu lunaire, dispensateur de gibier. Les trous percés dans la planche évoquent les lieux de passages entre le monde céleste, la terre et le monde sous-marin. » (Rousselot, J.L., Bihl, J. et al., "Masques Yup’ik", Masques Eskimo d’Alaska, Novalaise, 1991, p. 186)
Cf. pour des masques similaires susceptibles de clarifier autant l’iconographie que l’attribution géographique et la typologie de notre masque, voir celui de l'University of Pennsylvania Museum of Archaeology and Anthropology, publié par Rousselot, J.L, Bihl, J. et al., ibid., p. 186 ou encore celui du Nationalmuseet au Danemark (ibid., p. 112).