拍品专文
The bird, depicted alone or in a pair, is the first figurative form to have emerged in Sakalava funerary sculpture. The theme of the ibis - mijoa - is thought to be the materialization of the interconnection between the world of the living and the hereafter. A funerary monument, this post was raised in memory of an important figure after their death. As a whole, the corpus evokes the memory, balance, harmony and symmetry of the physical and metaphysical worlds.
The strong symbolism of this example resides in the pair of ibis, or aloala, which stand chest-to-chest. The birds face each other in a testimonial to the connection between life and death, as well as to the continuity of life through procreation.
The furrowed wood, the elegance of the shapes, and the subtle sculpting of the birds in their immortal union contribute to the poetry that emanates from this masterpiece: this nearly symmetrical couple forms an ode to the memory of generations past and to those to come. It is one of the rare examples of the very limited corpus that remains in private ownership.
L’oiseau, chez les Sakalava, qui peut apparaître seul ou par deux, serait la première forme figurative introduite dans la sculpture funéraire. Le thème de l’ibis - mijoa - serait la matérialisation de l’interconnexion entre le monde des vivants et l’au-delà. Monument funéraire, ce poteau était érigés à la mémoire des défunts importants. Dans son ensemble, le corpus évoque la mémoire, l’équilibre, l’harmonie et la symétrie des mondes physiques et métaphysiques.
La forte symbolique de l’exemplaire, présenté ici, réside dans cette paire d’ibis, aloala, collé l’un à l’autre. Face à face, ce couple témoigne du lien entre la vie et la mort mais également de la continuité de la vie par la procréation.
Le bois raviné, l’élégance des formes et le traitement subtil des oiseaux, dans leur immortelle union, participent à toute la poésie qui émane de ce chef-d’œuvre : quasi-symétrique, ce couple forme une ode à la mémoire des générations passées et de celles à venir. Il demeure l’un des rares exemplaires de ce corpus très restreint encore en mains privées.
The strong symbolism of this example resides in the pair of ibis, or aloala, which stand chest-to-chest. The birds face each other in a testimonial to the connection between life and death, as well as to the continuity of life through procreation.
The furrowed wood, the elegance of the shapes, and the subtle sculpting of the birds in their immortal union contribute to the poetry that emanates from this masterpiece: this nearly symmetrical couple forms an ode to the memory of generations past and to those to come. It is one of the rare examples of the very limited corpus that remains in private ownership.
L’oiseau, chez les Sakalava, qui peut apparaître seul ou par deux, serait la première forme figurative introduite dans la sculpture funéraire. Le thème de l’ibis - mijoa - serait la matérialisation de l’interconnexion entre le monde des vivants et l’au-delà. Monument funéraire, ce poteau était érigés à la mémoire des défunts importants. Dans son ensemble, le corpus évoque la mémoire, l’équilibre, l’harmonie et la symétrie des mondes physiques et métaphysiques.
La forte symbolique de l’exemplaire, présenté ici, réside dans cette paire d’ibis, aloala, collé l’un à l’autre. Face à face, ce couple témoigne du lien entre la vie et la mort mais également de la continuité de la vie par la procréation.
Le bois raviné, l’élégance des formes et le traitement subtil des oiseaux, dans leur immortelle union, participent à toute la poésie qui émane de ce chef-d’œuvre : quasi-symétrique, ce couple forme une ode à la mémoire des générations passées et de celles à venir. Il demeure l’un des rares exemplaires de ce corpus très restreint encore en mains privées.