拍品专文
These masks are associated with a fertility cult, occurring twice a year during the agricultural rites that take place at the time of the planting of crops and the harvest.
Hahner-Herzog, on the subject of a similar suaga mask in the Barbier-Mueller collection (cf. L’autre visage, Brussels, 1997) notes: ‘It presents zoomorphic characteristics that are difficult to associate with a single animal. While the gaping mouth lined with sharp teeth evokes a dog, the head has two long curved horns. A streamlined application of white paint highlights the pointed ears with triangular ridges and cylindrical eyes. The holes on the sides of the headdress were used to attach a woven costume that concealed the dancer’s body.’
This almost grotesque-looking piece is proof of the artist’s creative genius. The zoomorphic features, transcended by a subtle play of geometric shapes, and the traditional, still vivid colors, convey a very modern look.
For a similar example, see the one from the former William Woodrow Brill Collection, published in Robberts, A., Animals in African Art: From the Familiar to the Marvelous, New York, 1995, p. 160, no. 106.
Ces masques sont associés à un culte de la fertilité et se produisent deux fois par an lors des rites agricoles qui ont lieu au moment de la plantation des cultures et de la récolte.
Hahner-Herzog, au sujet d’un masque suaga analogue de la collection Barbier-Mueller (cf. L’autre visage, Bruxelles, 1997) note : « il présente des caractéristiques zoomorphes qu'il est difficile d'associer à un seul animal. Alors que la bouche béante bordée de dents acérées évoque un chien, la tête présente deux longues cornes incurvées. Une application parcimonieuse de peinture blanche met en valeur les oreilles pointues aux crêtes triangulaires et les yeux cylindriques. Les trous sur les côtés de la coiffe servaient à fixer un costume tissé qui dissimulait le corps du danseur."
Cet exemplaire, à l’allure presque grotesque, est une preuve du génie créatif de l’artiste. Les traits zoomorphes, transcendés par un jeu subtil de formes géométriques, et les couleurs traditionnelles, encore vives, confèrent à cet exemplaire une allure empreinte de modernité.
Pour un exemple similaire, voir celui de l’ancienne collection William Brill, publié dans Robberts, A., Animals in African Art. From the Familiar to the Marvelous, New York, 1995, p. 160, n° 106.
Hahner-Herzog, on the subject of a similar suaga mask in the Barbier-Mueller collection (cf. L’autre visage, Brussels, 1997) notes: ‘It presents zoomorphic characteristics that are difficult to associate with a single animal. While the gaping mouth lined with sharp teeth evokes a dog, the head has two long curved horns. A streamlined application of white paint highlights the pointed ears with triangular ridges and cylindrical eyes. The holes on the sides of the headdress were used to attach a woven costume that concealed the dancer’s body.’
This almost grotesque-looking piece is proof of the artist’s creative genius. The zoomorphic features, transcended by a subtle play of geometric shapes, and the traditional, still vivid colors, convey a very modern look.
For a similar example, see the one from the former William Woodrow Brill Collection, published in Robberts, A., Animals in African Art: From the Familiar to the Marvelous, New York, 1995, p. 160, no. 106.
Ces masques sont associés à un culte de la fertilité et se produisent deux fois par an lors des rites agricoles qui ont lieu au moment de la plantation des cultures et de la récolte.
Hahner-Herzog, au sujet d’un masque suaga analogue de la collection Barbier-Mueller (cf. L’autre visage, Bruxelles, 1997) note : « il présente des caractéristiques zoomorphes qu'il est difficile d'associer à un seul animal. Alors que la bouche béante bordée de dents acérées évoque un chien, la tête présente deux longues cornes incurvées. Une application parcimonieuse de peinture blanche met en valeur les oreilles pointues aux crêtes triangulaires et les yeux cylindriques. Les trous sur les côtés de la coiffe servaient à fixer un costume tissé qui dissimulait le corps du danseur."
Cet exemplaire, à l’allure presque grotesque, est une preuve du génie créatif de l’artiste. Les traits zoomorphes, transcendés par un jeu subtil de formes géométriques, et les couleurs traditionnelles, encore vives, confèrent à cet exemplaire une allure empreinte de modernité.
Pour un exemple similaire, voir celui de l’ancienne collection William Brill, publié dans Robberts, A., Animals in African Art. From the Familiar to the Marvelous, New York, 1995, p. 160, n° 106.